
Emmurés dans un terrier de fer,
Des êtres macèrent dans une turbulence visqueuse,
Dans l’expectative d’un futur noyé dans un néant.
Au mitan des aboiements pullulant dans un aréopage de damnés,
Dans l’expiation d’un forfait artificieux,
Les êtres ingurgitent le sirop amer du silence veule,
Suffoquent sous le voile des intérêts partisans
© Victoria BRUNÉ